Comment réduire sa productivité à néant


Comme tous les matins, dire bonjour à sa fidèle compagne de nombreuses années de dur labeur.

Comme tous les matins, lui prodiguer les soins idoines.

Comme tous les matins l’allumer et la laisser travailler.

Et rien… pas de glouglou annonciateur du breuvage parfumé et amère.

Ma cafetière est morte ce matin.

Ma journée de boulot est fichue.


9 réponses à “Comment réduire sa productivité à néant”

  1. Je ne me considère pas comme ayant spécialement l’esprit mal tourné, mais je me suis demandé de quoi (ou qui) tu parlais en écrivant « Comme tous les matins l’allumer et la laisser travailler » :D

  2. Seb : j’ai dans l’idée que c’était fait pour ;)

    Aymeric : passe au coca ! Sinon, moi j’ai bien mieux que le café… Quand une migraine s’annonce (et c’est assez fréquent), je prends du propofan (ou son générique). C’est notamment bourré de caféïne. Une fois le mal de crâne passé, je suis à 100 à l’heure !

  3. Seb : je ne vois pas ce qui te fait dire ça, vraiment pas.

    JulienA : Comment dire… je suis allergique à tout ce qui ressemble de près ou de loin à un cachet, autrement je tournerai au Gurozan. Surtout que j’aime vraiment le café.

    b_b : je confirme, ça fait un très bon café, sauf quand on la laisse trois heures sur le feu…

  4. En tant que défenseur de la communauté GLOOLAND je suis contraint de donner un carton rouge à AYMERIC.

    Ce type de billet n’a pas sa place ici où il est à l’étroit, par contre au sein de notre communauté il aurait pu s’épanouir….

    Jean-Philippe

  5. Attends, attends, je ne comprends pas. Il n’y a pas moyen de faire du café autrement qu’avec une machine électrique en France ? Genre faire bouillir de l’eau et la verser sur du café déposé dans un filtre en papier ou bien une cafetière à l’italienne ? Et comment vous faites quand il y aura un black-out ?

  6. Je tenais juste à t’assurer de ma profonde sympathie en ces moments pénibles. La perte d’une aussi précieuse collaboratrice sera difficile à surmonter, je t’adresse mes plus sincères condoléances.

  7. Jean-Philippe : pour Glooland, on va attendre que la maitresse des lieux en reprenne possession.

    Otir : en fait, j’ai déménagé la semaine dernière et mon entreprise est restée dans notre précédent logement, seul problème, il n’y a plus grand chose d’utile dans ce précédent logement. :)

    Delphine : merci pour tes condoléances, je vais transmettre à la famille, ça leur fera plaisir.