Lors d’une interview sur le blog Mots and co, Mickaël Thomassin m’avait posé quelques questions sur l’importance de l’interaction entre le redactionnel et le design en finissant par me demander ce que je pensais du phénomène web 2.0.

Je vous livre ici ma réponse, que je trouve avec le recul assez floue et mal rédigée, mais que voulez-vous, la rédaction ce n’est pas mon métier :

MotsAndCo : On parle énormément de Web 2.0, que va changer cette nouvelle ére dans ton approche ?!
…Honnêtement ? Pas grand chose. Pour moi, ce que l’on appelle actuellement Web 2.0 est plus un avatar de notre société de surconsommation basé sur un modèle économique assez flou. Certes remplacer certains outils par des équivalents Online peut sembler alléchant, mais quid de ma liberté face à ces services ? Pour les technologies utilisées, anciennes mais repensées, c’est vrai, c’est joli, ça permet d’avoir une impression d’interactivité, mais niveau accessibilité numérique on se pose encore pas mal de questions. Je me pose parfois cette question face à certains produits web 2.0 : pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué…

Quelques temps après, je tome sur un article d’Eric Delcroix sur les Z’ed ou il essaie tant bien que mal de trouver une réponse à la question : mais qu’est ce que c’est le Web 2.0?

Depuis, quelque part dans un coin de mon cerveau, entre les projets pros, les projets persos, et les divers articles en préparation, une idée d’article sur le fameux webdeuxpointzero germait, je la collais dans la to do list du blog, en attente de l’envie réelle de m’attaquer au truc.

Hier, j’ai vu la lumière…

Etant comme beaucoup gourmand (drogué?) d’actualités, je laisse toujours mon agrégateur de news ouvert dans un coin, ok, j’avoue, j’ai honte, j’utilise netvibes, promis je ne le ferais plus.

Je vois que Daniel a balancé un nouvel article sur le Glazblog, le titre m’attire, je vais voir, et…

…la lumière fut : Web Bubble 2.0 par Daniel Glazman.

Promis Daniel, je vais essayer d’oublier mon notepad++ un moment et me remettre à NVU.

Bonne lecture,
Aymeric Jacquet